atelier florian boehm
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< er.finder DEINER welt > . 27. juni - 2. juli 2017

performance participative dans le cabinet de disposed de kunstverein salzburg

 

 

< question : QUI es-tu >

sur IN.vitation de disposed florian boehm s'est mis à la recherche du MOI des visiteurs.

frenzel / mueller / sottong écrivent dans < storytelling > : l'homme est un être qui raconte. c'est par ce qu'il raconte et ce qu'on lui raconte qu'il devient un homme. nos histoires et note histoire sont l'expression de notre identité, de notre conscience, de notre lien au monde et aux autres. l'identité est une histoire que nous nous racontons à nous-mêmes et à laquelle nous finissons par croire. nous nous racontons à nous-mêmes en permanence qui nous sommes et quand nous voulons dire aux autres qui nous sommes, nous parlons de nous, et en parlant de nous nous parlons toujours de monde sans lequel nous vivons. > *

avec un accès ludique le < kabinet > a été pendant une semaine un lieu de narration sur soi-même. < soi > peut aussi être lu < S.un MOI >.

déroulement :

  • ouvert tous les jours de 12h à 19h.

  • le visiteur peut, a le droit, doit se raconter = décrit son MOI.

  • la CONSER.vation adjectivale est effectué par des DÉcoupes sur papier.

  • le PAPIER court le long du mur < englobe la salle > .

  • FINISSAGE le samedi : 1er juillet à partir de 15h : transformation FEST.ive et participative du papier en un mot composé

ainsi les histoires racontées seront conservées DURABLEment de manière COLLECTIVE et sous une forme INTÉRIORisée.

 

la réalisation appréciée a généré des discussions en partie très apaisantes avec plus de 70 personnes et des textes poétiques sur plus de 35 pages.

 

* citation librement adaptée du point de vue de l'orthographe de wolfgang steinmaurer : storytelling et world café. IN : le commissaire aux comptes 4.2005 : 40 .

photoansicht er.finder DEINER welt.JPG

 < on the edge >

(“sur le fil”)

2018 . pas encore mis en œuvre

déroulement

  • une femme marche le long d'une ligne tracée sur le sol jusqu'à un rectangle dessiné sur le sol, s'assoit à l'intérieur du rectangle, couvre sa tête d'un voile et commence à déclamer.

  • elle parle de ce qu'elle a et n'a pas le droit de faire, et commence sur un motif évident dans notre société actuelle : les droits de l'homme, dont la défense peut être dangereuse ailleurs.

  • à la fin elle arrête de parler, se lève, remonte le voile et quitte lentement la pièce.

< on the edge > traite de façon complexe

  • de l'exercice de la violence

  • en particulier pour des motifs religieux et

  • en particulier, mais pas seulement, envers les femmes et les jeunes filles

  • et donc aussi fortement

  • des questions de la socialisation

  • des questions de l'identité et

  • avec les attentes manifestes ou plus subtiles selon la culture, et les stéréotypes et les attentes de rôles assignés aux femmes

  • la performance vise à mettre ceci en conscience, à susciter la réflexion et à poser des questions sur les fictions et les mythes sociaux qui, selon l'avis de yuval noah harari, maintiennent (peuvent maintenir) ensemble et « durablement » de grandes sociétés, et qui créent aussi sur cette base une conscience des fictions et mythes présents dans chacun de nous, et leur remise en question critique.

l'idée de cette performance est apparue

  • suite au travail sur le texte (et la courte pièce radiophonique) < croire aux sorcières >. celui-ci

    • traite des procès de sorcières entre 1675 et 1690 à salzbourg et dans les pays environnants, ainsi que

    • de l'exercice de la violence et de l'intimidation des civils, en particulier aussi la population féminine par boko haram au nigeria (en partie avec de la dissimulation et de la magie), aussi bien que par les troupes gouvernementales,

  • après une récente lecture de l'histoire de malala yousafzai (points-clés : attaques des talibans pakistanais en 2012 , prix nobel de la paix en 2014, messagère de la paix de l'onu),

  • sous l'impression provoquée par de récents articles de journaux début 2018 sur des enlèvements de femmes / jeunes filles par boko haram au nigeria ainsi 

  • qu'en tenant compte de la situation socio-politique actuelle en autriche et dans d'autres « pays occidentaux ».